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L’Instituto Bernabeu parle des processus stricts suivis lors des dons d’ovules et de spermatozoïdes lors d’une rencontre médicale en Italie

29-01-2020

L’Instituto Bernabeu parle des processus stricts suivis lors des dons d’ovules et de spermatozoïdes lors d’une rencontre médicale en Italie

L’Instituto Bernabeu a participé en Italie à une rencontre professionnelle entre médecins généralistes et d’experts en médicine reproductive durant laquelle a été abordée, depuis une perspective plus large, la coordination qui est réalisée dans le processus du don d’ovules et de sperme et comment obtenir les meilleurs résultats. Lors du congrès, l’instituto Bernabeu a parlé des critères et des modalités d’accès à l’insémination artificielle hétérologue à travers le don d’ovocytes, le don de sperme et l’adoption d’embryon, sous le titre : « Voies d’attention diagnostico-thérapeutique en reproduction assistée : procédures et synergies entre spécialistes du secteur ».  

Depuis 2014, l’Italie réalise également des traitements de reproduction assistée avec des ovules et du sperme issus de don, depuis que le Tribunal Constitutionnel a déclaré illégitime l’interdiction de réaliser ces inséminations avec des gamètes donnés. Ainsi, cette rencontre a essayé de rapprocher différents types de professionnels vers ce qui se pratique habituellement dans ce domaine. L’Instituto Bernabeu a partagé sa grande expérience en ce qui concerne le don, un processus dans lequel sont pris en compte des exigences qui vont au-delà des conditions requises par la loi : contrôles psychologiques, génétiques et médicaux suivis par la clinique dans le processus de sélection des donneurs.

L’Instituto Bernabeu met en marche des contrôles psychologiques, génétiques et médicaux stricts et seules les personnes au profil idéal pourront finalement faire partie du programme de don. Selon les données du premier trimestre 2019, uniquement 22 % des candidates ont passé avec succès l’ensemble des phases pour devenir donneuses. Et le chiffre est encore plus bas pour les hommes ; seuls 9 % ont été accepté après l’application des critères d’exclusion.

 

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